Sombre Clair

Pigalle, quartier connu à l’international pour sortir à Paris. Au milieu des sex-shops, des rues très animées et des discothèques en tout genre, Esprit Festivalier a investi les lieux de la Machine du Moulin Rouge. Une boîte de nuit populaire pour ses soirées house et techno.  A l’occasion de la sortie du nouvel album de Mézigue, c’est après deux mois de tournée nationale que les artistes du label Parisien D.KO Records posent leurs platines le 25 octobre pour leur dernière date à la Machine. 

Pour ceux qui ne connaissent pas, D.KO Records c’est Mézigue, MadRey ou encore Secret Value Orchestra

Retrouvez d’ailleurs le nouvel album de Mézigue juste ici !

Pour rester dans l’ambiance du fameux Moulin Rouge,  la salle principale de la machine est décorée par des lumières rouges, des barres en fer noir, des escaliers et des balcons en métal qui donnent vue sur un grand espace où tout le monde a sa place pour danser

Le sous-sol, tamisé par ses lumières bleutées, abrite la Chaufferie. Une salle plus petite avec un décor industriel qui permet d’accueillir un DJ et un grand dancefloor dans un thème underground

En bas, dans la Chaufferie, la soirée commence par la deep-house acidulée de Fablaire puis la house chill du dj Allemand Paso. L’émargement donne déjà le ton d’une soirée qui se voudra réussie. Avec un BPM plutôt tranquille pour commencer, c’est au tour du Géorgien Toke, de prendre les platines. Son live deep house – vraiment deep pour le coup – a réveillé toute la Chaufferie. La scène se clôture enfin par un excellent B2B entre le duo Rag Dabons et l’artiste Mud Deep

A l’étage, la soirée est inaugurée par le dj Braque de Weimar. Puis c’est Secret Value Orchestra, un des groupes phares du label qui s’est déjà produit pour Cercle et à l’international, qui lance les hostilités. Un véritable concert mi-funk mi-house qui épouse le style du label. 

Et c’est pour terminer cette belle soirée, que le tant attendu Mézigue mixe en B2B avec MadRey. Les deux djs stars du label transcendent la foule en remixant leurs propres singles avec un BPM bien plus élevé que d’habitude. Un moment très intense qui a gardé la salle presque pleine, jusqu’à la fermeture. 

Pendant tout la soirée, une ambiance chaleureuse et rythmée a reigné, D.KO a su imposer ses codes et faire voyager son public dans son monde original aux sonorités old schools et acidulées. Ce dernier tour, orchestré par Mézigue et MadRey, restera une des plus belles dates de D.KO comme ils l’ont exprimé sur les réseaux sociaux. 

Pendant tout la soirée, une ambiance chaleureuse et rythmée a reigné, D.KO a su imposer ses codes et faire voyager son public dans son monde original aux sonorités old schools et acidulées. Ce dernier tour, orchestré par Mézigue et MadRey, restera une des plus belles dates de D.KO comme ils l’ont exprimé sur les réseaux sociaux. 

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